Поиск по творчеству и критике
Cлово "SAVOIR"
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Часть текста: St. Simon. L'ambition. Acte II En récit: Jeanne à l'université, sous le nom de Jean de Mayence. Elle se lie avec un jeune gentilhomme espagnol. Amour, jalousie, duel. Jeanne soutient une thèse et est faite docteur. — Jeanne prieur d'un couvent; règle austère qu'elle y établit. Les moines se plaignent... Jeanne à Rome, cardinal; le pape meurt. — Conclave, — elle est faite pape — Acte III Jeanne commence à s'ennuyer. Arrive l'ambassadeur d'Espagne, son condisciple. Leur reconnaissance. Elle le menace de l'Inquisition, et lui d'un éclat. Il pénètre jusqu'à elle. Elle devient sa maîtresse. Elle accouche entre le Colisée et le couvent de... Le diable l'emporte. ——— Si c'est un drame, il rappellera trop le Faust — il vaut mieux en faire un poème dans le style de Christabel, ou bien en octaves. Перевод: Действие I Дочь честного ремесленника, который дивится ее учености, простоватая мать, не видящая в этом ничего хорошего. Жильбер приглашает ученого посмотреть на его дочь — семейное чудо. Приготовления, в которых мать одна избегает всех....
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Часть текста: Николаевич des prétentions de M-r Polivanof. Il me semble que je vous en ai parlé d’abord. Ce n’est pas mon affaire de marier les demoiselles, et que M-r Polivanof soit agréé ou non, cela m’est parfaitement égal, mais vous ajoutez que ma démarche me fait peu d’honneur. Cette expression est injurieuse et j’ose dire que je ne l’ai jamais méritée. J’ai été obligé de quitter Moscou pour éviter des tracasseries qui à la longue pouvaient compromettre plus que mon repos; on me dépeignait à ma femme comme un homme odieux, avide, un vil usurier, on lui disait: vous êtes une sotte de permettre à votre mari etc. Vous m’avouerez que c’était prêcher le divorce. Une femme ne peut décemment se laisser dire que son mari est un infâme, et le devoir de la mienne est de se soumettre à ce que je me permets. Ce n’est pas à une femme de 18 ans de gouverner un homme de 32. J’ai fait preuve de patience et de délicatesse, mais il parait que l’une et l’autre est duperie. J’aime mon repos et je saurai me l’assurer. A mon départ de Moscou vous n’avez pas jugé à propos de me parler d’affaire; vous avez mieux aimé faire une plaisanterie sur la possibilité d’un divorce, ou de quelque chose comme ça. Il m’est indispensable cependant de savoir définitivement ce que vous avez résolu à mon égard. Je ne parle pas de ce qu’on...
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Часть текста: — Л.: Наука. Ленингр. отд-ние, 1977—1979. Т. 10. Письма. — 1979. 755. П. А. ОСИПОВОЙ. 24 декабря 1836 г. Из Петербурга в Тригорское. 24 déc. Vous ne saurez croire, ma bien chère Прасковья Александровна, combien votre lettre m’a fait plaisir. Je n’avais pas de vos nouvelles depuis plus de quatre mois; et ce n’est qu’avant hier que M-r Lvof m’en a données; le même jour j’ai reçu votre lettre. J’avais espéré vous voir en automne, mais j’en ai été empêché en partie par mes affaires, en partie par Павлищев, qui m’a mis de mauvaise humeur en sorte que je n’ai pas voulu avoir l’air de venir à Михайловское pour arranger le partage. C’est avec bien du regret que j’ai été obligé de renoncer à être votre voisin, et j’espère encore ne pas perdre cette place que je préfère à bien d’autre. Вот в чем дело: J’avais proposé d’abord de prendre le bien à moi tout seul, en m’engageant de payer mon frère et ma soeur les parts qui leur reviennent à raison de 500 r. par âme. Павлищев оценил Михайловское в 800 р. душу — я с ним и не спорю, но в таком случае принужден был отказаться и ...
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Часть текста: que de vous]*. Quoique vous voir et vous entendre soit pour moi [le bonheur]* [la volupté] j’aime mieux vous écrire que vous parler. [Vous] [d] [loin de vous] [Votre présence m’attriste et me dècouragent]. [Mes paroles sont genée, mes sentiments pénibles] — Il y a en vous une ironie, une malice qui [m’attriste] aigrissent [est] [me] et découragent. [Mes] les sentiments [sont] deviennent pénibles, et [mes] les [paroles]* du coeur se [glacent] tournent en pures plaisanteries [en votre] présence. [Surement] vous êtes [un] le démon, c. à dire c elui qui doute et nie, comme le dit l’Ecriture. [Vous] dernierement — vous m’avez cruellement parlé du passé [et du] vous m’avois dit [tout haut] ce que [je] j’ [ai] tâchois de ne pas croire — pendant 7 ans entiers, [étoit-ce] pourquoi-celà [vouliez vous vous venger] [la ve ] [Vous n’] le bonheur est si peu fait pour moi, que je ne l’ai pas reconnu quant il étoit devant moi — Ne m’en parlez donc plus, au nom du Christ — [vous me faites connoitre la rage] [un rem] le remords, si tout est que je...
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Часть текста: большую ценность. Вся черновая подготовительная работа Пушкина, его программы будущих поэм, романов, драм, трактатов, первые проблески идей и образов, развитых впоследствии до знакомой публике художественной стройности и выразительности, все это вместе образует такой богатый архив материалов для повести не только о литературной, но и о жизненной, общественной деятельности поэта, что разработка его займет, вероятно, много умов и рук. Сведения и данные, которые можно извлечь из этого архива, не уступают в важности тем, которые получаются при изучении его завершенных и опубликованных созданий. На отрывках и набросках Пушкина лежит та же печать его таланта и то же отражение его задушевной мысли, как и на последних. Программы его не имеют ничего общего с теми брульонами, первоначальными очерками, которые встречаются у многих писателей и которые становятся немыми, бесполезными, а иногда и безобразными свидетелями человеческого труда, пока не пояснены и не поправлены самим произведением, о мучительном рождении которого возвещают. Брульоны и остатки Пушкина в большинстве случаев сами по себе полные картины, хотя, конечно, все образы их представляются еще в виде теней, бескровных...
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Часть текста: me payer la dette de vos parents. Car moi aussi je ne puis supporter l'incertitude sur ce point. — Le terme de mon payement au Lombard est là tout près — et je dois savoir à quoi me tenir. — Voici une lettre de votre mère que je joint à la mienne, votre père est au lit,— et rien que d'inquiétude. Ah écrivez-nous de grâce, car autrement — autrement en vérité!! votre père ne pourra pas le supporter — hâtez-vous donc de lui dire que vous vous portez bien et tous les vôtres, et que vous ne l'oubliez pas — idée que le tourmente, et fait pleurer votre Mère. Pardonnez-moi, je le répète, ces lignes, fâchez-vous, mais répondez à votre toute dévouée Prask. Ossipoff. <На втором листе:> Mémorial Depuis l'année 33 1760 Rb. — 60 payés à Pétersbourg i ntérêt de l'année 170 — ———— total 1870, assignats Si vous pouvez, si vous voulez avoir la bonté de me les payer — c'est au Lombard que je vous prierais de les payer. {См. перевод} По займу на 96,000 руб. стат.<ской> сов.<етнице> Пр.<асковье> Осип.<овой> под залог имения Пс.<ковской> губ.<ернии> Опоческого уезда 650 душ 1824 1 года, перезаложенных на 37 лет с 1832-го. Сноски 2 В подлиннике : est 1 1824 переделано из 1832 Переводы иноязычных текстов строка 13 снизу и сл., — стр. 199, строка 1 и сл. 1 ноября. Тригорское. Где вы?... что вы поделываете, мой дорогой...
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Часть текста: mais qui ne valent pas le diable, je vous en avertis. Pourquoi faut-il donc que je vous gronde? Si vous aviez le bras en écharpe, il ne fallait pas m’écrire. Quelle mauvaise tête! Dites-moi donc, que vous a-t-il fait ce pauvre mari? N’est-il pas jaloux par hasard? hé bien, je vous jure qu’il n’aurait pas tort; vous ne savez pas (ou ce qui est bien pire) vous ne voulez pas ménager les gens. Une jolie femme est bien maîtresse... d’être la maîtresse... Mon Dieu, je n’irai pas prêcher de la morale. Mais encore, on doit des égards au mari, sinon personne ne voudrait l’être. N’opprimez pas trop le métier, il est nécessaire de par le monde. Tenez, je vous parle à coeur ouvert. A 400 v. de distance vous avez trouvé le moyen de me rendre jaloux; qu’est ce donc que cela doit être à quatre pas? — (NB: Je voudrais bien savoir pourquoi M-r votre cousin n’est parti de Riga que le 15 du courant, et pourquoi son nom s’est-il trouvé trois fois au bout de votre plume dans votre lettre à moi? sans indiscrétion peut-on le savoir?). Pardon, divine, si je vous dis franchement ma façon de penser; c’est une preuve du véritable intérêt que je vous porte; je vous aime beaucoup plus que vous ne croyez. Tâchez donc de vous accommoder tant soit peu de ce maudit M-r Kern. Je conçois bien que ce ne doit pas être un grand génie, mais enfin ce n’est pas non plus tout-à-fait un imbécile. De la douceur, de la coquetterie (et surtout, au...
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Часть текста: 17 — 21 ноября 1836 г. В Петербурге. (Восстановленный текст непосланного письма) Monsieur le Baron, Avant tout permettez-moi de faire le résumé de tout ce qui vient de se passer. La conduite de M-r votre fils m’était entièrement connue depuis longtemps et ne pouvait m’être indifférente; mais comme elle était restreinte dans les bornes des convenances et que d’ailleurs je savais combien sur ce point ma femme méritait ma confiance et mon respect, je me contentais du rôle d’observateur quitte à intervenir lorsque je le jugerai à propos. Je savais bien qu’une belle figure, une passion malheureuse, une persévérance de deux années finissent toujours par produire quelque effet sur le coeur d’une jeune personne et qu’alors le mari, à moins qu’il ne fût un sot, deviendrait tout naturellement le confident de sa femme et le maître de sa conduite. Je vous avouerai que je n’étais pas sans inquiétude. Un incident, qui dans tout autre moment m’eût été très désagréable, vint fort heureusement me tirer d’affaire: je reçus des lettres anonymes. Je vis que le...
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Часть текста: d’Olga, la quarantaine etc. Dieu merci, tout est maintenant fini. Mes parents ne sont plus aux arrêts — le choléra n’est guère à craindre. Il va finir à Pétersbourg. Savez-vous qu’il y a eu des troubles, à Новгород dans les colonies militaires? les soldats se sont ameutés toujours sous l’absurde prétexte de l’empoisonnement. Les généraux, les officiers et les médecins ont été tous massacrés, avec un raffinement d’atrocité. L’empereur y est allé, et a apaisé l’émeute avec un courage et un sang froid admirable. Mais il ne faut pas que le peuple s’accoutume aux émeutes, et les émeutes à sa présence. Il paraît que tout est fini. Vous jugez de la maladie beaucoup mieux que ne l’ont fait les docteurs et le gouvernement. Болезнь повальная, а не зараза, следственно карантины лишнее; нужны одни предосторожности в пище и в одежде. Si cette vérité était connue avant, nous eussinos évité bien des maux. Maintenant on traite le choléra comme tout empoisonnement — avec l’huile et du lait chaud , sans oublier les bains de vapeur. Dieu donne que vous n’ayez pas besoin d’employer cette recette à Тригорское. Je remets en vos mains mes intérêts et mes projets. Je ne tiens ni à Savkino , ni à tout autre lieu; je tiens à être votre voisin, et propriétaire d’un joli site. Veuillez me faire savoir le prix de telle...
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Часть текста: — mais vous, pâle, ému, sans doute, de cette douleur que vous saviez m'être réservée encore le même soir — vous m'avez fait trembler déjà alors sur votre santé. Je ne sais à qui m'adresser pour savoir la vérité — c'est la quatrième fois que je vous écris. Demain il y a quinze jours que vous êtes parti — il est inconcevable que vous n'ayez pas écrit un mot. Vous ne connaissez que trop ma tendresse et inquiète et déchirante pour moi. Il n'est point dans votre noble caractère de me laisser sans aucunes nouvelles à votre sujet. Défendez-moi de vous parler de moi, mais ne me privez pas du bonheur d'être votre commissionaire. Je vous parlerai grand monde, littérature étrangère — probabilité d'un changement du ministère en France, hélas, je suis à la source de tout, il n'y a que le bonheur qui me manque! Je vous dirai cependant que ma joie a été parfaite avant-hier soir. Le G. D. Michel est venu passer la soirée avec nous — à la vue de votre portrait, ou de vos portraits, il me dit — „Savez-vous que je n'ai jamais vu Poushkin de très près. J'avais de grandes préventions contre lui, mais d'après ce qu'il m'en revient je désire beaucoup le connaître et surtout je tiens à avoir une longue conversation avec lui“ —...