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1. Бенкендорф — Пушкину А. С., 28 апреля 1830
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2. Пушкин — Геккерену Л., 17—21 ноября 1836
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3. Пушкин — Хлюстину С. С., 4 февраля 1836
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4. Разговоры Пушкина (собрали: С. Гессен; Л. Модзалевский). 1929 - 1830 гг.
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5. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 24 ноября 1831
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Бенкендорф — Пушкину А. С., 28 апреля 1830
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Часть текста: individuelle vis-à-vis du gouvernement, je ne puis que Vous répéter tout ce que je Vous ai dit tant de fois; je la trouve parfaitement dans Vos intérêts; il ne peut y avoir rien de faux ni de douteux, si toutefois Vous ne voulez pas la rendre telle Vous-même. Sa Majesté l'Empereur, par une sollicitude toute paternelle pour Vous, Monsieur, a daigné charger moi, le général Benkendorff, non le chef de la gendarmerie, mais l'homme dans lequel il se plaît à mettre sa confiance, de Vous observer et de Vous guider par ses conseils; jamais aucune police n'a eu ordre de Vous surveiller. Les avis que je Vous ai donné de temps, en temps, comme ami, n'ont pu que Vous être utiles, et j'espère que Vous Vous en convaincrez toujours davantage. Quel est donc l'ombrage qu'on peut trouver dans votre position sous ce rapport? Je Vous autorise, Monsieur, de faire voir cette lettre à tous ceux à qui Vous croirez devoir la montrer. Pour ce qui regarde Votre tragédie de Godounoff, S. M. l'Empereur Vous permet de la faire imprimer sous Votre propre responsabilité. Recevez, finalement, mes vœux les plus sincères pour Votre bonheur futur, et croyez-moi toujours avec des sentiments distingués                                                    Votre très devoué...
2. Пушкин — Геккерену Л., 17—21 ноября 1836
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Часть текста: par produire quelque effet sur le coeur d’une jeune personne et qu’alors le mari, à moins qu’il ne fût un sot, deviendrait tout naturellement le confident de sa femme et le maître de sa conduite. Je vous avouerai que je n’étais pas sans inquiétude. Un incident, qui dans tout autre moment m’eût été très désagréable, vint fort heureusement me tirer d’affaire: je reçus des lettres anonymes. Je vis que le moment était venu, et j’en profitai. Vous savez le reste: je fis jouer à M-r votre fils un rôle si grotesque et si pitoyable, que ma femme, étonnée de tant de plattitude, ne put s’empêcher de rire et que l’émotion, que peut-être avait-elle ressentie pour cette grande et sublime passion, s’éteignit dans le dégoût le plus calme et le mieux mérité. Mais vous, Monsieur le Baron, vous me permettrez d’observer que le rôle à vous dans toute cette affaire n’est pas des plus convenables. Vous, le représentant d’une tête couronnée, vous avez été paternellement le maquereau de votre bâtard ou du soi-disant tel; toute la conduite de ce jeune homme a été dirigée par vous. C’est vous qui lui dictiez les pauvretés qu’il venait...
3. Пушкин — Хлюстину С. С., 4 февраля 1836
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Часть текста: quelques points où vous me paraissez dans l’erreur. Je ne me souviens pas de vous avoir entendu citer quelque chose de l’article en question. Ce qui m’a porté à m’expliquer, peut-être, avec trop de chaleur, c’est la remarque que vous m’avez faite de ce que j’avais eu tort la veille de prendre au cœur les paroles de Senkovsky. Je vous ai répondu: «Я не сержусь на Сенковского; но мне нельзя не досадовать, когда порядочные люди повторяют нелепости свиней и мерзавцев». Vous assimiler à des свиньи и мерзавцы est certes une absurdité, qui n’a pu ni m’entrer dans la tête, ni même m’échapper dans toute la pétulence d’une dispute. A ma grande surprise, vous m’avez répliqué que vous preniez entièrement pour votre compte l’article injurieux de Senkovsky et notamment l’expression «обманывать публику». J’étais d’autant moins préparé...
4. Разговоры Пушкина (собрали: С. Гессен; Л. Модзалевский). 1929 - 1830 гг.
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Часть текста: С. П.  Шевырев 3 . Воспоминания . Майков, стр. 331. Начало года. ... [Пушкин] все еще хотел казаться юношею. Раз как-то ... я произнес стих его, говоря о нем самом: Ужель мне точно тридцать лет? 4 Он тотчас возразил: „Нет, нет! У меня сказано: Ужель мне скоро тридцать лет. Я жду этого рокового термина, а теперь еще не прощаюсь с юностью“. Надобно заметить, что до рокового термина оставалось несколько месяцев!   К. А.  Полевой . Записки . ИВ, 1887, № 6, стр. 569. Январь. Тверская губ., с. Павловское,            им. П. И. Вульфа. Был со мной в это время и такой случай. Один из родственников Павла Ивановича [Вульфа] 5 пробрался ночью ко мне в спальню, где я спала с одной старушкой прислугой. Только просыпаюсь я, у моей кровати стоит этот молодой человек на коленях и голову прижал к моей голове ... „Ай! Что вы?“ закричала я в ужасе. „Молчите, молчите, я сейчас уйду“, проговорил он и ушел. Пушкин, узнав это, остался особенно доволен этим и после еще с большим сочувствием относился ко мне. „Молодец вы, Катерина Евграфовна, он думал, что ему везде двери отворены, что нечего и предупреждать, а вышло не то ... “ несколько раз повторял Александр Сергеевич.   Е. Е.  Синицина , р. Смирнова, по записи В. И.  Колосова ....
5. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 24 ноября 1831
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Часть текста: de mon devoir d’en prévenir votre Excellence. Je saisis cette occasion pour vous parler d’une chose qui m’est toute personnelle. L’intérêt que vous avez toujours daigné me témoigner, m’encourage à vous en parler en détail et en toute confiance. Il y a un an à peu près que dans l’un de nos journaux on imprima un article satyrique dans lequel on parlait d’un certain littérateur qui manifestait des prétentions à une origine noble, tandis qu’il n’était qu’un bourgeois-gentilhomme. On ajoutait que sa mère était une mulâtre dont le père, pauvre négrillon, avait été acheté par un matelot pour une bouteille de rhum. Quoique Pierre le Grand ne ressemblât guère à un matelot ivre, c’était me désigner assez clairement, vu qu’il n’y a que moi de littérateur russe qui comptasse un nègre parmi mes ancêtres. Comme l’article en question était imprimé dans une gazette officielle, qu’on avait poussé l’indécence jusqu’à parler de ma mère dans un feuilleton qui ne devrait être que littéraire, et que nos gazetiers ne se battent pas en duel, je crus devoir répondre au satyrique anonyme , ce que je fis en vers et très vertement. J’envoyais ma réponse à feu Delvig, en le priant de l’insércr dans son journal. Delvig m’engagea à la supprimer, me faisant observer qu’il y aurait du ridicule à se défendre la plume à la main contre des...