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Cлово "VENUE"


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1. Пушкин — Осиповой П. А., около (не позднее) 26 октября 1835
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2. Вульф — Пушкину А. С., конец февраля — 8 марта 1826
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3. Пушкин — Санковскому П. С., 3 января 1833
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4. Осипова — Пушкину А. С., 6 января 1837
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5. Карамзина и др. Из писем 1836—1837 года. Письма (20-22)
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6. Пушкин — Осиповой П. А., 29 июля 1831
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Пушкин — Осиповой П. А., около (не позднее) 26 октября 1835
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Часть текста: J’ai trouvé ma pauvre mère à l’extrémité, elle était venue de Pavlovsk pour chercher un logement, et elle est tombée subitement en faiblesse chez M-me Княжнин, où elle s’était arrêtée. Rauch et Spaski n’ont aucune espérance. Dans cette triste situation j’ai encore le chagrin de voir ma pauvre Natalie en butte à la haine du monde. On dit partout qu’il est affreux qu’elle soit si élégante, quand son beau-père et sa belle-mère n’ont pas de quoi manger, et que sa belle-mère se meurt chez des étrangers. Vous savez ce qu’il en est. On ne peut pas dire à la rigueur qu’un homme qui a 1200 paysans soit dans la misère. C’est mon père qui a quelque chose, et c’est moi qui n’ai rien. En tout cas Natalie n’a que faire dans tout cela; c’est moi qui devrait en répondre. Si ma mère s’était venue établir chez moi, Natalie, comme de raison, l’aurait reçue. Mais une maison froide, remplie de marmaille et encombrée de monde n’est guère convenable à une malade. Ma mère est mieux chez elle. Je l’ai trouvée déjà déménagée; mon père est dans un état bien à plaindre. Quant à moi, je fais de la bile, et je suis tout abasourdi. Croyez m’en, chère Madame Ossipof, la vie toute süsse Gewohnheit qu’elle est, a une amertume qui finit par la rendre dégoutante et c’est un vilain tas de boue que le monde. J’aime mieux...
2. Вульф — Пушкину А. С., конец февраля — 8 марта 1826
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Часть текста: plus les derniers jours que nous avons passés ensemble. Je suis fâchée de ne vous avoir pas écrit les premiers jours de mon arrivée, ma lettre aurait été charmante; mais aujourd'hui cela m'est impossible, je ne puis être que tendre et je crois que je finirai par déchirer cette lettre. [Il est presque] Savez vous que je pleure en vous écrivant, cela me compromet, je le sens; mais c'est plus fort que moi, je ne puis me vaincre. Il est presque sûr que je reste ici, ma chère Mère l'a arrangé sans me demander mon avis — elle dit que c'est une grande inconséquence de ma part de ne pas vouloir rester maintenant quand en hiver je voulais partir seule même! Voyez que vous êtes fautif de tout vous-même — dois-je maudire ou bénir la providence de vous avoir envoyé [sur mon chemin] à Trigorsk? — Si encore vous m'en voudrez d'être restée ici, vous serez un monstre après cela, — entendez vous, Monsieur. Je ferai tout mon possible de ne pas rester, je vous donne ma parole, et si je ne réussis pas, croyez que cela ne sera pas ma faute. Ne croyez cependant pas que cela soit peut-être parce que je n'ai personne ici — loin de cela, j'ai trouvé [ici] un Cousin charmant qui m'aime passionnément et ne demande pas mieux que de me le prouver à votre manière si je le voulais. Ce n'est pas un uland comme vous le supposerez peut-être, mais un officier de la garde, un charmant jeune homme et qui ne me fait d'infidélité pour ...
3. Пушкин — Санковскому П. С., 3 января 1833
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Часть текста: une bonne raison: je n’avais rien à vous envoyer et j’attendais toujours un moment d’inspiration comme on dit, c’est à dire, un moment de griffomanie. Et bien, l’inspiration n’est pas venue, je n’ai pas écrit un vers depuis deux ans — et voilà comment la bonne intention que j’avais de vous faire hommage de mes pauvres rimes est allée paver l’enfer. Pour Dieu, ne m’en voulez pas, et plaignez-moi de ne jamais faire ce que j’aurais dû ou voulu. J’avais chargé Ширяев de vous faire parvenir tout ce que j’ai imprimé depuis que je suis de retour de Tiflis — j’ignore s’il s’en est acquitté. Quant à moi, j’ai bien des grâces à vous rendre pour l’envoi du journal de Tiflis — le seul d’entre ceux de Russie que ait une couleur originale et où se rencontrent des articles d’un intérêt véritable et Européen. Si vous voyez quelquefois А. Бестужев, faites lui bien mes amitiés. Nous nous sommes rencontrés sur le Гут-гора sans nous reconnaître et depuis je n’ai eu de ses nouvelles que par les journaux où il imprimait ses charmantes nouvelles. On avait répandu ici la nouvelle de sa mort, nous l’avons pleuré bien sincèrement, et nous sommes bien réjouis à sa résurrection в третий день по писанию. Cette lettre vous sera remise par M-r Rossetti, jeune homme plein de...
4. Осипова — Пушкину А. С., 6 января 1837
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Часть текста: — au mois de Sept. je vous ai écrit. L’idée de venir passer quelques jours ici est attrayante pour moi, mais je doute que la chère belle femme veuille venir, est qui pourrait le trouver mauvais!! Honni soit qui mal y pense. Pawl. est un vrai vilain et un fou par dessus. — Moi je ne veux pas de Михайловски et comme vous étes  2 le fils de mon cœur je désire que vous le gardez — entendez-vous ?... et ayez la patience de me lire — le destin vous le conserve. — C’est sans aucun doute que le bien ne vaut ni plus ni moins que 500 par ame. — A présent sans faire tort à personne, ni à Olga, ni à Léon vous pouvez prendre à la lettre la dernière disposition de Paw. — La somme donc que vous devrez débourser pour les payer monterait à moins de 20 mil. puisque il n’y a pas 80 âmes tout revenant. Votre père écrit à Boris qu’il cede à Olga sa 7-ième partie du bien — ainsi il lui reviendrait 11 âmes p r 5,500 руб. Le reste vous le payerez a Leon et en engageant le bien qui est libre — vous recev ez près de 16,000, par 200 par âme. — et Michailowsky a donné à Mr Paw. cette année 2000 avec un peu d’ordre. C’est prouvé que son revenu peut monter à plus de 3000 ; ainsi voilà le Lombard payé — car vous ne payerez que une centaine de Rb. par an — et vous voilà maître de Мих.<айловское> et moi volontiers je me ferai votre intendante. La seule bonne chose que Paw. a fait c’est qu’il a congédié le gros matin que l’on nommait intendant après avoir trouvé qu’il avait escamoté 1000 Rb. tout récemment et qu’il a mit un bon et honnête paysan comme starosta, et tout va à merveille. Je vous ai...
5. Карамзина и др. Из писем 1836—1837 года. Письма (20-22)
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Часть текста: особенно огорченной, прощаясь с Жуковским, Данзасом и Далем — с тремя ангелами-хранителями, которые окружали смертный одр ее мужа и так много сделали, чтобы облегчить его последние минуты; она была рада, что уезжает, это естественно; но было бы естественным также выказать раздирающее душу волнение — и ничего подобного, даже меньше грусти, чем до тех пор! Нет, эта женщина не будет неутешной. Затем она сказала мне нечто невообразимое, нечто такое, что, по моему мнению, является ключом всего ее поведения в этой истории, того легкомыслия, той непоследовательности, которые позволили ей поставить на карту прекрасную жизнь Пушкина, даже не против чувства, но против жалкого соблазна кокетства и тщеславия; она мне сказала: «Я совсем не жалею о Петербурге; меня огорчает только разлука с Карамзиными и Вяземскими, но что до самого Петербурга, балов, праздников — это мне безразлично». О! Я окаменела от удивления, я смотрела на нее большими глазами, мне казалось, что она сошла с ума, но ничуть не бывало: она просто *бестолковая*, как всегда! Бедный, бедный Пушкин! Она его никогда не понимала. Потеряв его по своей вине, она ужасно страдала несколько дней, но сейчас горячка прошла, остается только слабость и угнетенное состояние, и то пройдет очень скоро. Обе сестры увиделись, чтобы попрощаться, вероятно навсегда, 3 и тут, наконец, Катрин хоть немного поняла несчастье, которое она должна была бы чувствовать и на своей совести; она поплакала, но до этой минуты была спокойна, весела, смеялась и всем, кто бывал у нее, говорила только о своем счастье. Вот уж чурбан и дура! Суд над Дантесом еще не окончен, говорят, что он будет разжалован, а...
6. Пушкин — Осиповой П. А., 29 июля 1831
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Часть текста: Savez-vous qu’il y a eu des troubles, à Новгород dans les colonies militaires? les soldats se sont ameutés toujours sous l’absurde prétexte de l’empoisonnement. Les généraux, les officiers et les médecins ont été tous massacrés, avec un raffinement d’atrocité. L’empereur y est allé, et a apaisé l’émeute avec un courage et un sang froid admirable. Mais il ne faut pas que le peuple s’accoutume aux émeutes, et les émeutes à sa présence. Il paraît que tout est fini. Vous jugez de la maladie beaucoup mieux que ne l’ont fait les docteurs et le gouvernement. Болезнь повальная, а не зараза, следственно карантины лишнее; нужны одни предосторожности в пище и в одежде. Si cette vérité était connue avant, nous eussinos évité bien des maux. Maintenant on traite le choléra comme tout empoisonnement — avec l’huile et du lait chaud , sans oublier les bains de vapeur. Dieu donne que vous n’ayez pas besoin d’employer...