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Cлово "ORE"


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1. Риччи — Пушкину А. С., 1 мая 1828
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2. Риччи — Пушкину А. С., март — первая половина апреля 1828
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1. Риччи — Пушкину А. С., 1 мая 1828
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Часть текста: lettre que vous m'avez écrite? Vous avez lu mes vers avec l'œil toujours philanthropique de l'homme à grand talent qui cherche toujours et en toutes choses le bon côté; tandis que la médiocrité fait étalage de son savoir pédantesque en glissant sur ce qui pourrait être loué, et appuyant de toutes ses forces sur le côté critiquable. Vous ne pouviez donc pas porter d'autre jugement; mais quant aux prières que je vous adressais, vous avez complètement éludé la question, et c'est de cela que je ne vous sais nullement gré. Laissons de côté la demande peut-être indiscrète que je vous avais faite, quoique très décidé à garder inviolablement le secret; mais pour la faveur que je vous demandais de m'indiquer les Poésies légères et fragments des pièces déjà publiées que vous préféreriez voir traduits, je ne vous ferai pas grâce, et je réitère ma demande. En choisissant moi-même, je crains de faire comme Alfiéri, quand à trois reprises il a entrepris de faire des extraits du Dante, et qu'il s'est trouvé à la fin l'avoir, toutes les trois fois, copié en entier. Je ne serais nullement éloigné de le faire; mais m'étant...
2. Риччи — Пушкину А. С., март — первая половина апреля 1828
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Часть текста: — Пушкину. Март — первая половина апреля 1828 г. Москва. Depuis quelque temps, aimable M r Pouchkin, je me suis adonné à un des fléaux (au dire de Byron) des écrivains, 1 à la traduction. Votre grand talent ne pouvait pas m'échapper, aussi je vous envoie un petit échantillon de la manière dont je vous estropie. Écrivez-moi ce que vous en pensez, et si vous me trouvez plus fidèle que vous en amour, soyez assez bon pour m'indiquer les pièces ou fragments que vous voudriez voir passer dans notre langue. Ce qui vous rendrait adorable à mes yeux, ce serait de m'envoyer quelques morceaux de votre Boris Godounoff, que je ne confierai à personne. Mad me la P sse Zénéide a envoyé à M r Kasloff une Ode de Derjavin traduite par moi. Vous me feriez grand plaisir d'y jeter les yeux, et de m'en parler sans phrases. Mon éditeur, toujours la P sse Zénéide, veut absolument vous faire connaître deux pièces de vers de mon cru , que le P ce Abalienski recevra d'elle. Si Onéghin-Boyan- Pouchkin veut arracher un moment à son dolce far niente (ce qui ne l'empêche pas de faire beaucoup) — en ma faveur, je lui en serai bien reconnaissant. Votre tout devoué...