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Cлово "IMPORTUNER"


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1. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 27 мая 1832
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2. Пушкин — Нордину Г., май — июнь 1835
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3. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 1 июня 1835
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4. Пушкин — Репнину Н. Г., 5 февраля 1836
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5. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 7 января 1830
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6. Раевский — Пушкину А. С., 21 августа 1824
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7. Воронцова — Пушкину А. С., 26 декабря 1833
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8. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 17 декабря 1834
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 27 мая 1832
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Часть текста: manuscrits que son frère lui a laissés. J’ai cru qu’il fallait pour cela l’autorisation de Votre Excellence et que celle de la censure ne suffisait pas. J’ose espérer que cette permission que je sollicite ne pourra me nuire: ayant été camarade de collège de G. Kuchelbecker, il est naturel que sa soeur, en cette occasion, se soit adressée à moi plutôt qu’à tout autre. Maintenant permettez-moi de vous importuner pour quelque chose qui m’est personnel. Jusqu’à présent j’ai beaucoup négligé mes moyens de fortune. Actuellement que je ne puis être insouciant sans manquer à mes devoirs, il faut que je songe à m’enrichir et j’en demande la permission à Sa Majesté. Mon service auquel Elle a daigné m’attacher, mes occupations littéraires m’obligent à demeurer à Pétersbourg, et je n’ai de revenu que ce que me procure mon travail. L’entreprise littéraire dont je sollicite l’autorisation et qui...
2. Пушкин — Нордину Г., май — июнь 1835
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Часть текста: Пушкин — Нордину Г., май — июнь 1835 Пушкин А. С. Полное собрание сочинений: В 10 т. — Л.: Наука. Ленингр. отд-ние, 1977—1979. Т. 10. Письма. — 1979. 654. Г. НОРДИНУ. Май — июнь 1835 г. (?) В Петербурге. Veuillez, monsieur, recevoir mes très sincères remerciements pour votre aimable contrebande. Me pardonnerez-vous de vous importuner encore? Il me serait bien nécessaire d’avoir l’ouvrage sur l’Allemagne de ce mauvais sujet de Heine. Oserai-je espérer que vous aurez la bonté de la faire prendre aussi? Agréez, monsieur, l’assurance de ma haute considération. A. Pouchkine.       {См. перевод} Переводы иноязычных текстов Соблаговолите, сударь, принять мою самую искреннюю благодарность за вашу любезную контрабанду. Простите ли вы мне, что я вам докучаю снова? Мне было бы весьма необходимо иметь книгу о Германии этого негодника Гейне. Смею ли я надеяться, что вы будете добры достать также и ее? Примите, сударь, уверение в моем высоком уважении. А. Пушкин. (Франц.)        Примечания Пушкин просит достать запрещенную в России книгу Г. Гейне «О Германии» (V и VI тт. сочинений Г. Гейне, изданных в 1835 г. в Париже на французском языке). По-видимому, просьба Пушкина была выполнена.
3. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 1 июня 1835
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Часть текста: doit nous revenir. Jusqu’à présent je n’ai vécu que des fruits de mon travail. Mon revenu fixe, ce sont les appointements que l’empereur a daigné m’accorder. Travailler pour vivre n’a pour moi, certes, rien d’humiliant; mais accoutumé à l’indépendance, il m’est tout-à-fait impossible d’écrire pour de l’argent; et l’idée seule suffit pour me réduire à l’inaction. La vie de Pétersbourg est horriblement chère. Jusqu’à présent j’ai envisagé avec assez d’indifférence les dépenses que j’ai été obligé de faire, un journal politique et littéraire, entreprise purement mercantile, me donnant tout de suite les moyens d’avoir 30 à 40 milles de revenu. Cependant cette besogne me répugnait tellement, que je n’ai songé à y avoir recours qu’à la dernière extrémité. Je me vois dans le nécessité de couper court à des dépenses qui ne m’entraînent qu’à faire des dettes et qui me préparent un avenir d’inquiétude et d’embarras, sinon de misère et de désespoir. Trois ou quatre ans de retraite à la campagne, me mettront de nouveau dans la possibilité de venir reprendre à Pétersbourg des occupations que je dois encore aux bontés de Sa Majesté. J’ai été comblé des bienfaits ...
4. Пушкин — Репнину Н. Г., 5 февраля 1836
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Часть текста: connu de Votre Excellence. Non seulement jamais je ne vous ai offensé, mais par des motifs à moi connus, je vous ai porté jusqu’à présent un sentiment vrai de respect et de reconnaissance. Cependant un M-r Bogolubof a publiquement répété des propos outrageants pour moi, et celà comme venant de vous. Je prie Votre Excellence de vouloir bien me faire savoir à quoi je dois m’en tenir. Je sais mieux que personne la distance qui me sépare de vous: mais vous qui êtes non seulement un grand seigneur, mais encore le représentant de notre ancienne et véritable noblesse à laquelle j’appartiens aussi, j’espère que vous comprendrez sans peine l’impérieuse nécessité qui m’a dicté cette démarche. Je suis avec respect de Votre Excellence le très humble et très obéissant serviteur 5 février 1836. Alexandre Pouchkine. {См. перевод} Переводы иноязычных текстов Князь, С сожалением вижу себя вынужденным беспокоить ваше сиятельство; но, как дворянин и отец семейства, я должен блюсти мою честь и имя, которое оставлю моим детям. Я не имею чести быть лично известен вашему сиятельству. Я не только никогда не оскорблял вас, но по причинам, мне известным, до сих пор питал к...
5. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 7 января 1830
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Часть текста: m’a permise de lui faire. Tandis que je ne suis encore ni marié, ni attaché au service, j’aurais désiré faire un voyage soit en France, soit en Italie. Cependant s’il ne me l’était pas accordé, je demanderais la grâce de visiter la Chine avec la mission qui va s’y rendre. Oserais-je vous importuner encore? Pendant mon absence, M-r Joukovsky avait voulu imprimer ma tragédie, mais il n’en à pas reçu d’autorisation formelle. II me serait gênant, vu mon manque de fortune, de me priver d’une quinzaine de milles roubles que peut me rapporter ma tragédie, et il me serait triste de renoncer à la publication d’un ouvrage que j’ai longtemps médité et dont je suis le plus content. M’en rapportant entièrement à Votre bienveillance, je suis, Mon Général,         7 janvier 1830. de Votre Excellence le  très  humble  et  très  obéissant serviteur             Alexandre Pouchkine.        {См. перевод} Переводы иноязычных текстов Генерал, Явившись к вашему превосходительству и не имев счастья застать вас, я приемлю смелость изложить вам письменно просьбу, с которой вы разрешили к вам обратиться. Покамест я еще не женат и не зачислен на службу, я бы хотел совершить путешествие во Францию или Италию. В случае же, если оно не будет мне разрешено, я бы просил соизволения посетить...
6. Раевский — Пушкину А. С., 21 августа 1824
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Часть текста: celui de ne pas assez respecter la Religion, notez bien cela, car ce n'est pas la première fois que je vous le dis. — C'est un besoin réel pour moi que de vous écrire: on ne passe pas impunément tant de temps ensemble; sans faire entrer en ligne de compte toutes les bonnes raisons que j'ai [de] pour vous porter une amitié véritable, l'habitude seule suffirait pour former un lien [véritab ] durable entre nous. Maintenant que nous sommes si loin l'un de l'autre je ne mettrai plus aucune restriction dans l'expression des sentiments que je vous porte; sachez donc qu'outre votre beau et grand talent je vous ai voué depuis longtemps une amitié fraternelle et qu'aucune circonstance ne m'en fera départir. — Si après cette première lettre vous ne me répondez pas et vous ne me donnez pas votre adresse, je continuerai à vous écrire, à vous importuner jusqu'à ce que je vous force à me répondre, à passer par-dessus de petites appréhensions que l'innocence seule de notre correspondance doit faire évanouir. — Je ne vous parlerai pas de votre malheur, je vous dirai seulement que je ne désespère nullement de votre situation présente, elle s'améliorera, je n'en doute pas. La...
7. Воронцова — Пушкину А. С., 26 декабря 1833
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Часть текста: juste certainement, mais qui me serait pénible, je l'avoue, par la raison toute simple, que nul ne sait se rendre justice. — N'importe, le motif qui me fait agir n'est point personnel c'est un bienfait que je réclame pour d'autres et à ce titre je me sens le courage de vous importuner, et vous avez déjà, je n'en doute pas celui de m'écouter. — L'extrême misère qui désole nos Provinces et cette ville que vous avez habitée et qu sera rattachée à l'Histoire par votre nom, a montre dans son jour la charité de ses habitants. — Une société s'est chargée de veiller à l'accomplissement du noble but pour lequel de généreux sacrifices ont été faits. Dieu bénit le zèle public, beaucoup de larmes ont été essuyées, beaucoup de misère soulagée; mais il faut poursuivre la tâche, et afin d'alonger les moyens de secours la Société ne cesse d'éveiller la curiosité et d'utiliser les plaisirs. — Une pensée littéraire a été entre autre jettée en avant; cette pensée a pris de la consistence par l'empressement qu'on a mis à la développer, à la soutenir. — Un Almanach au profit des pauvres a mérité l'approbation des personnes influentes par leur propre secours ou par celui de leurs amis. Le programme de cet Almanach que je prends la liberté de vous envoyer, 2 vous dira, Monsieur, comment il sera composé. — Lorsque tant de personnes appellent maintenant l'attention de nos hautes renommées littéraires pour rendre plus riche le Подарок Бедным ,...
8. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 17 декабря 1834
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Часть текста: Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 17 декабря 1834 Пушкин А. С. Полное собрание сочинений: В 10 т. — Л.: Наука. Ленингр. отд-ние, 1977—1979. Т. 10. Письма. — 1979. 626. А. Х. БЕНКЕНДОРФУ. 17 декабря 1834 г. В Петербурге. Monsieur le Comte, Je suis au désespoir d’importuner de nouveau Votre Excellence, mais M. Spéransky vient de me faire dire que l’histoire de la révolte de Pougatchef ayant été dans sa section par ordre de Sa Majesté l’Empereur, il lui est impossible de livrer l’édition без высочайшего на то соизволения . Je supplie Votre Excellence de me pardonner et de me tirer d’embarras. Je suis avec le respect le plus profond Monsieur le Comte de Votre Excellence       le très humble et très obéissant serviteur 17 décembre 1834. Alexandre Pouchkine. {См. перевод} Переводы иноязычных текстов Граф, Я в отчаянии от необходимости вновь докучать вашему сиятельству, но г. Сперанский только что сообщил мне, что так как история Пугачевского бунта отпечатана в его отделении по повелению его величества государя императора, то ему невозможно выдать издание (без высочайшего на то соизволения) . Умоляю ваше сиятельство извинить меня и устранить это затруднение. Остаюсь с глубочайшим уважением, граф, вашего сиятельства нижайший и покорнейший слуга Александр Пушкин.       17 декабря 1834. (Франц.) Примечания Сперанский — см. примеч. 547. «История Пугачева» вышла в свет в самом конце декабря.