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Cлово "EXPOSER"


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1. Пушкин — Гончаровой Н. И., 5 апреля 1830
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2. Два черновых письма К. А. Собаньской
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3. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., апрель — май 1835
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4. Пушкин — Гончаровой Н. Н., 11 октября 1830
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5. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 22 июля 1835
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6. Фон — Фок — Пушкину А. С., 8 июня 1831
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Примерный текст на первых найденных страницах

1. Пушкин — Гончаровой Н. И., 5 апреля 1830
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Часть текста: décourageantes. Je m’en vais vous les exposer toutes sincères et toutes diffuses, en implorant votre patience, votre indulgence surtout. Lorsque je la vis pour la première fois, sa beauté venait d’être à peine aperçue dans le monde; je l’aimai, la tête me tourna, je la demandai, votre réponse, toute vague qu’elle était, me donna un moment de délire; je partis la méme nuit pour l’armée; demandez-moi ce que j’allais y faire je vous jure que je n’en sais rien, mais une angoisse involontaire me chassait de Moscou; je n’aurais pu y soutenir ni votre présence, ni la sienne. Je vous avais écrit; j’espérais, j’attendais une réponse — elle ne venait pas. Les torts de ma première jeunesse se présentèrent à mon imagination; ils n’ont ete que trop violents, et la calomnie les a encore aggravés; le bruit en est devenu, malheureusement, populaire. Vous pouviez y ajouter foi, je n’osais m’en plaindre, mais j’étais au désespoir. Que de tourments m’attendaient à mon retour! Votre silence, votre air froid, l’accueil de Mademoiselle Natalie si léger, si inattentif... je n’eus pas le courage de m’expliquer, j’allais à Pétersbourg la mort dans l’âme. Je sentais que j’avais joué un rôle bien ridicule, j’avais élé timide pour la première fois de ma vie et ce n’est pas la timidité qui dans un homme de mon âge puisse plaire à une jeune personne de l’âge de M-lle votre fille. Un de mes amis va...
2. Два черновых письма К. А. Собаньской
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Часть текста: [vous] semblez prendre plaisir à me désapointer, [l’espoir de vous voir aujourd’hui m’avoit reveillé] je ne vous verrez donc que demain — soit. [Cependant]* [il faut que je vous parle] [je ne puis être] [il faut que] [je m’occupe] [je [n’ai] ne puis m’occuper que de vous]*. Quoique vous voir et vous entendre soit pour moi [le bonheur]* [la volupté] j’aime mieux vous écrire que vous parler. [Vous] [d] [loin de vous] [Votre présence m’attriste et me dècouragent]. [Mes paroles sont genée, mes sentiments pénibles] — Il y a en vous une ironie, une malice qui [m’attriste] aigrissent [est] [me] et découragent. [Mes] les sentiments [sont] deviennent pénibles, et [mes] les [paroles]* du coeur se [glacent] tournent en pures plaisanteries [en votre] présence. [Surement] vous êtes [un] le démon, c. à dire c elui qui doute et nie, comme le dit l’Ecriture. [Vous] dernierement — vous m’avez cruellement parlé du passé [et du] vous m’avois dit [tout haut] ce que [je] j’ [ai] tâchois de ne pas croire — pendant 7 ans entiers, [étoit-ce] pourquoi-celà [vouliez vous vous venger] [la ve ] [Vous n’] le bonheur est si peu fait pour moi, que je ne l’ai pas reconnu quant il étoit devant moi — Ne m’en parlez donc plus, au nom du Christ — [vous me faites connoitre la rage] [un rem] le remords, si tout est que je l’aurois connu, le remords [a] auroit eu sa volupté — [le] un regrêt pareil ne [laisse] [produit] laisse [qu’une rage] [que des larmes] à l’âme 1 rien 1 que des...
3. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., апрель — май 1835
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Часть текста: Ni moi, ni ma femme nous n’avons encore notre fortune; celle de mon père est si dérangée que j’ai été obligé d’en prendre la direction pour assurer un avenir au reste de ma famille. Je ne voulais devenir journaliste que pour ne pas me reprocher d’avoir négligé un moyen qui me donnant 40 000 de revenu me mettait hors d’embarras. Mon projet n’ayant pas eu l’agrément de Sa Majesté, j’avoue que me voilà soulagé d’un grand poids. Mais aussi je me vois obligé d’avoir recours aux bontés de l’empereur qui maintenant est mon seul espoir. Je vous demande la permission, M-r le Comte, de vous exposer ma situation et de remettre ma requête en votre protection. Pour payer toutes mes dettes et pouvoir vivre, arranger les affaires de ma famille et être enfin libre de me livrer sans tracas à mes travaux historiques et à mes occupations, il me suffit de trouver à faire un emprunt de 100 000. Mais en Russie c’est impossible. L’empereur, qui jusqu’à présent ne s’est pas lassé de me combler de grâce, mais qu’il m’est pénible .... en daignant me prendre à son service m’a fait la grâce de me...
4. Пушкин — Гончаровой Н. Н., 11 октября 1830
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Часть текста: 1977—1979. Т. 10. Письма. — 1979. 360. Н. Н. ГОНЧАРОВОЙ. 11 октября 1830 г. Из Болдина в Москву. L’entrée à Moscou est interdite et me voila confiné à Boldino. Au nom du ciel, chère Наталья Николаевна, ecrivez-moi malgré que vous ne le vouliez pas. Dites-moi où êtes-vous? avez-vous quitté Moscou? y a-t-il un chemin de travers qui puisse me mener à vos pieds? Je suis tout découragé et ne sais vraiment que faire. Il est clair que cette année (maudite année) notre mariage n’aura pas lieu. Mais n’est-ce pas que vous avez quitté Moscou? S’exposer de gaîté de cœur au beau milieu de la peste serait impardonnable. Je sais bien qu’on exagère toujours le tableau de ses ravages et le nombre des victimes; une jeune femme de Constantinople me disait jadis qu’il n’y avait que la canaille qui mourait de la peste — tout cela est bel et bon; mais il faut encore que les gens comme il faut prennent leurs précautions, car c’est là ce qui les sauve et non leur élégance et leur bon ton. Vous êtes donc à la campagne, bien à couvert de la choléra, n’est-ce pas? Envoyez-moi donc votre adresse et le bulletin de votre santé. Quant à nous, nous sommes cernés par les quarantaines, mais l’épidémie n’a pas encore pénétré. Boldino a l’air d’une île entourée de rochers. Point de voisins, point de livres. Un temps affreux. Je passe mon temps à griffonner et à enrager. Je ne sais que fait le pauvre monde, et comment va mon ami Polignac, Ecrivez-moi de ses nouvelles, car ici je ne lis point de journaux. Je deviens si imbécile que c’est une bénédiction. Что дедушка с его медной бабушкой? Оба живы и здоровы, не правда ли? Передо...
5. Пушкин — Бенкендорфу А. Х., 22 июля 1835
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Часть текста: Полное собрание сочинений: В 10 т. — Л.: Наука. Ленингр. отд-ние, 1977—1979. Т. 10. Письма. — 1979. 658. А. Х. БЕНКЕНДОРФУ. 22 июля 1835 г. В Петербурге. Monsieur le Comte, J’ai eu l’honneur de me présenter à la porte de Votre Excellence, sans avoir eu le bonheur de la trouver chez elle. Accablé des bontés de Sa Majesté, c’est à vous, Monsieur le Comte, que je viens m’adresser pour vous rendre grâce de l’intérêt que vous avez bien voulu me témoigner et pour vous exposer franchement ma situation. Pendant les cinq dernières années de mon séjour à Pétersbourg j’ai contracté près de soixante mille roubles de dettes. J’ai été de plus obligé de prendre en mains les affaires de ma famille, cela m’a si fort embarassé, que j’ai été obligé de renoncer à un héritage et que les seuls moyens que j’eus de mettre ordre à mes affaires, étaient — ou de me retirer à la campagne — ou bien d’emprunter, une fois pour toutes, une forte somme d’argent. Mais ce dernier parti est presqu’impossible en Russie, où ...
6. Фон — Фок — Пушкину А. С., 8 июня 1831
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Часть текста: à jeter de l`ombrage sur les circonstances les plus innocentes. C'est ainsi qu'on s'est plu aussi à m'attribuer une influence que je n'ai jamais exercée et qui serait diamétralement opposée à mes principes. Les éditeurs de l'Abeille du Nord me sont plus particulièrement connus par des relations antérieures, purement sociales; ce sont les seuls de tous les gens de lettres qui viennent me voir de temps en temps et avec lesquels j'ai fait quelquefois échange d'opinions littéraires, sans cependant jamais me ranger exclusivement de leur avis. La prédilection qu'on m'attribue pour ces messieurs est donc absolument gratuite; et même un tant soit peu méchante. Quant aux articles politiques que je leur envoie de temps en temps, pour être insérés dans leur journal, je le fais ex officio, par autorisation de M r le général de Benckendorf, qui y appose ordinairement son approbation par écrit. Par cette même raison je me permets de croire que Vous feriez peut-être bien de Vous adresser à l'égard de votre projet à M r le général de Benckendorf, qui Vous a constamment donné des preuves évidentes de sa bienveillance...